« La nostalgie de la lumière » : le climat au cinéma

Un lieu où le ciel est si transparent qu’il est possible d’observer les confins de l’univers, un climat désertique si intense que ses sols ont conservé les traces les plus ancestrales de l’humanité, un sommet du monde où se réunissent les plus illustres scientifiques du monde pour tenter de comprendre son fonctionnement si unique… Le désert d’Atacama est l’un des rares endroits du monde où l’humidité n’existe quasiment pas.
A travers « La Nostalgie de la lumière », sélection officielle du Festival de Cannes 2010, le réalisateur Patricio Guzman propose au grand public de découvrir les étonnantes possibilités de connaissance qu’offre ce sommet de 3 000 mètres situé au Chili.


Le désert d’Atacama, c’est quoi ?



Il s’agit du désert le plus aride du monde avec moins de 50 mm de pluie par an. Plus concrètement, on estime qu’il n’y pleut qu’entre 2 et 4 fois par siècle ! C’est justement cette sécheresse continue qui explique la présence d’un ciel aussi dégagé, prenant souvent une couleur bleue foncée tirant sur le violet.


Situé au Nord du pays, la fluctuation thermique est très forte au cours d’une même journée : de 0°C la nuit, le mercure peut grimper jusqu’à plus de 30°C la journée. Cette échelle de températures reste plutôt stable tout au long de l’année avec une amplitude thermique faible entre l’hiver et l’été.




Découvrez ici la bande annonce du documentaire « La Nostalgie de la lumière », actuellement au cinéma !


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