Vague de chaleur durable en Ile-de-France : jusqu'à 36°C ce mardi
Une nouvelle vague de chaleur caniculaire s’installe sur la région parisienne cette semaine, avec des maximales attendues autour de 35°C, tandis que les nuits deviennent de plus en plus douces, voire tropicales. Ce sera la plus longue vague de chaleur de l'été pour l'instant, mais on ne devrait pas atteindre le pic de 39°C atteint début juillet dernier.
Températures maximales attendues au plus chaud de l'épisode © La Chaine Météo
Paris et l’Île-de-France connaissent un nouvel épisode de chaleur intense, comparable à celui de début juillet 2025, avec des journées très chaudes et des nuits où les températures n’offriront aucun répit. Cette situation pourrait persister jusqu'en cours de semaine prochaine, avec la perspective d'un très beau week-end apprécié des vacanciers.
Un épisode de chaleur intense mais à priori plus court que celui de juin- juillet 2025
La semaine s’annonce particulièrement éprouvante : ce mardi, le mercure culmine à 35 / 36 °C, suivi mercredi et vendredi de maxima autour de 33 °C. Cette vague, malgré son caractère sévère, reste plus brève que celle de début juillet 2025. À l’époque, les températures étaient restées durablement bloquées autour de 30°C pendant 10 jours, et Paris avait brièvement frôlé les 38 °C début juillet, lors d’un épisode exceptionnel par sa précocité et sa durée. Cette fois-ci, le pic durera 3 jours, de mardi à jeudi, avec 35 à 36°C, ce qui reste notable, avec des nuits de plus en plus chaudes, dites "tropicales".
Paris restera juste en limite des seuils de canicule © La Chaine Météo
Des nuits chaudes "tropicales"
Les nuits chaudes, ou nuits tropicales (températures nocturnes qui ne descendant pas sous les 20 °C), sont de retour alors que la fraicheur était de mise ce week-end, surtout en campagne. Désormais, on ne descendra plus sous 21 à 23°C dans Paris intra-muros ces prochains jours (17 à 19°C dans les campagnes franciliennes, et parfois 15 à 16°C au plus frais dans certains fonds de vallons). Mais ce sera insuffisant pour aérer les appartements surchauffés et cela contribue à un sommeil de moindre qualité, moins réparateur et source de fatigue.