Actualités Météo
Pluie : comment rouler en moto ?
Par La Chaîne Météo
mis à jour le
Pluie sur la route rime trop souvent avec accidents de moto.Lorsque les conditions météo compliquent la conduite de deux-roues, comme c'est le cas de manière généralisée sur la France cette semaine, il est nécessaire de savoir comment s’équiper, mais aussi comment rouler. Le port d’une combinaison paraît évident, mais pas n’importe laquelle. Si...
équipements moto 2 © 867608
Pluie sur la route rime trop souvent avec accidents de moto.Lorsque les conditions météo compliquent la conduite de deux-roues, comme c'est le cas de manière généralisée sur la France cette semaine, il est nécessaire de savoir comment s’équiper, mais aussi comment rouler.
Le port d’une combinaison paraît évident, mais pas n’importe laquelle. Si vous optez pour le nylon vous gagnerez plus de confort, mais c’est le PVC qui offre le plus d’étanchéité. Conscients du dilemme, certains fabricants ont mis au point des combinaisons réunissant les deux matières.
Une eau qui ruisselle le long des bras est très désagréable lors des longues routes. Optez pour des manches longues, mais aussi des sur-gants pour éviter l'humidité sur vos mains.
De même, préférez un col haut pour empêcher toute infiltration. Si le port d’un pantalon long va de soi, optez de plus pour un modèle « waterproof » à élastiques : fixés sous vos pieds et autour des chevilles, ils empêcheront l’eau de la chaussée de remonter sur vos pieds.
Entre la grisaille d’un temps pluvieux et la nuit, il n’y a parfois qu’une faible différence. Ne négligez pas votre visibilité et essayez de porter des couleurs vives, ou mieux réfléchissantes.
Pour éviter la perte de votre visibilité cette fois, vous pouvez appliquer un produit « chasse pluie » sur l’extérieur de l’écran du casque. Rouler sous la pluie
Le danger n’attend pas les grosses averses, c’est la première demi-heure de pluie qui est la plus dangereuse. C’est à ce moment là que se forme le « verglas d’été » (pas seulement en été, mais aussi au printemps et de manière générale dès que les températures dépassent les 10°C) : les premières gouttes tombées sur le bitume font remonter les hydrocarbures, ce qui forme une pellicule extrêmement glissante.
Il paraît évident de rouler sur la partie la plus sèche de la chaussée, mais il n’est pas aussi évident de savoir où elle se situe !
L ’idéal est de rouler sur les traces des pneus des voitures, là où une partie de l’eau a déjà été évacuée. Dans les ronds-points par contre, il est préférable de rouler le plus possible à l’intérieur.
Si tous les motards savent qu’il faut éviter toutes les surfaces glissantes comme les plaques d’égouts et les endroits abrités qui sèchent moins vite, il faut aussi de méfier des feuilles mortes et des fruits écrasés qui peuvent se révéler très dangereux lorsque le sol est humide.
Le port d’une combinaison paraît évident, mais pas n’importe laquelle. Si vous optez pour le nylon vous gagnerez plus de confort, mais c’est le PVC qui offre le plus d’étanchéité. Conscients du dilemme, certains fabricants ont mis au point des combinaisons réunissant les deux matières.
Une eau qui ruisselle le long des bras est très désagréable lors des longues routes. Optez pour des manches longues, mais aussi des sur-gants pour éviter l'humidité sur vos mains.
De même, préférez un col haut pour empêcher toute infiltration. Si le port d’un pantalon long va de soi, optez de plus pour un modèle « waterproof » à élastiques : fixés sous vos pieds et autour des chevilles, ils empêcheront l’eau de la chaussée de remonter sur vos pieds.
Entre la grisaille d’un temps pluvieux et la nuit, il n’y a parfois qu’une faible différence. Ne négligez pas votre visibilité et essayez de porter des couleurs vives, ou mieux réfléchissantes.
Pour éviter la perte de votre visibilité cette fois, vous pouvez appliquer un produit « chasse pluie » sur l’extérieur de l’écran du casque. Rouler sous la pluie
Le danger n’attend pas les grosses averses, c’est la première demi-heure de pluie qui est la plus dangereuse. C’est à ce moment là que se forme le « verglas d’été » (pas seulement en été, mais aussi au printemps et de manière générale dès que les températures dépassent les 10°C) : les premières gouttes tombées sur le bitume font remonter les hydrocarbures, ce qui forme une pellicule extrêmement glissante.
Il paraît évident de rouler sur la partie la plus sèche de la chaussée, mais il n’est pas aussi évident de savoir où elle se situe !
L ’idéal est de rouler sur les traces des pneus des voitures, là où une partie de l’eau a déjà été évacuée. Dans les ronds-points par contre, il est préférable de rouler le plus possible à l’intérieur.
Si tous les motards savent qu’il faut éviter toutes les surfaces glissantes comme les plaques d’égouts et les endroits abrités qui sèchent moins vite, il faut aussi de méfier des feuilles mortes et des fruits écrasés qui peuvent se révéler très dangereux lorsque le sol est humide.
Partagez cet article
À lire aussi
