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Noël au balcon, Pâques au Tisons : un dicton justifié ... ou non ?
Nombreux sont les dictons météorologiques. L'un des plus célèbres d'entre eux "Noël au balcon, Pâques
Nombreux sont les dictons météorologiques. L'un des plus célèbres d'entre eux "Noël au balcon, Pâques aux tisons" est- il vrai ?... Les températures de ce week-end, comparées au Noël dernier, pourraient le laisser penser. De là à en tirer des conclusions hâtives, une petite enquête dans le passé s'impose...
Pour Paris, si on compare depuis 1945 jusqu'à aujourd'hui, le temps qu'il a fait à Pâques et à Noël, on constate que dix années ont vu les températures de Noël dépasser celles de Pâques.
C'est peu... Mais il faut bien garder à l'esprit qu'une température de 10°C à Noël et de 10°C à Pâques n'ont pas la même signification : si une température de 10°C à Noël à Paris correspond à une journée de douceur (sans être exceptionnelle non plus puisqu'on peut atteindre 15°C au maximum en décembre), la même température à Pâques (10°C) sera considérée comme une température fraîche pour la saison, mais sans excès non plus !
Ainsi, on peut constater qu'une température de 10°C, à la fois à Noël et pour Pâques (sur Paris toujours) constituent des valeurs que l'on peut retrouver en moyenne une année sur 3 ! Ce qui limite la pertinence de ce dicton... Tout est donc relatif...
Mais pour Noël 2012 et Pâques 2013, et dans ce cas précis, il faut reconnaître qu'il est tout à fait justifié, avec 12°C le 25 décembre dernier contre 6°C hier après-midi...
Dernier point important, il s'agit des conditions météo qui ont accompagné ces températures : ainsi, pour Noël dernier, malgré une température clémente sur Paris, il a plu par moments, une météo qui a pu limiter les "sorties au balcon" alors que la Pâque 2013, malgré le froid, n'a pas vu la moindre goutte d'eau tomber du ciel sur la capitale...
Retrouvez nos prévisions saisonnières au 3201* par téléphone.
Pour Paris, si on compare depuis 1945 jusqu'à aujourd'hui, le temps qu'il a fait à Pâques et à Noël, on constate que dix années ont vu les températures de Noël dépasser celles de Pâques.
C'est peu... Mais il faut bien garder à l'esprit qu'une température de 10°C à Noël et de 10°C à Pâques n'ont pas la même signification : si une température de 10°C à Noël à Paris correspond à une journée de douceur (sans être exceptionnelle non plus puisqu'on peut atteindre 15°C au maximum en décembre), la même température à Pâques (10°C) sera considérée comme une température fraîche pour la saison, mais sans excès non plus !
Ainsi, on peut constater qu'une température de 10°C, à la fois à Noël et pour Pâques (sur Paris toujours) constituent des valeurs que l'on peut retrouver en moyenne une année sur 3 ! Ce qui limite la pertinence de ce dicton... Tout est donc relatif...
Mais pour Noël 2012 et Pâques 2013, et dans ce cas précis, il faut reconnaître qu'il est tout à fait justifié, avec 12°C le 25 décembre dernier contre 6°C hier après-midi...
Dernier point important, il s'agit des conditions météo qui ont accompagné ces températures : ainsi, pour Noël dernier, malgré une température clémente sur Paris, il a plu par moments, une météo qui a pu limiter les "sorties au balcon" alors que la Pâque 2013, malgré le froid, n'a pas vu la moindre goutte d'eau tomber du ciel sur la capitale...
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