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Crues de rivières et avalanches à redouter cette semaine
Dans un contexte météo qui reste dépressionnaire et très perturbé cette semaine, le risque de crues de cours
Le Mezayon en crue (APPLICATION METEO - REPORTER MOBILE) © gmatricon
Dans un contexte météo qui reste dépressionnaire et très perturbé cette semaine, le risque de crues de cours d'eau et d'avalanche en montagne est très élevé.
En montagne, les chutes de neige des dernières 48 heures, très abondantes (on relève de 50 cm à 1 m de neige fraîche sur l'ensemble de nos massifs vers 1000 mètres d'altitude, et jusqu'à 1,50 sur les Cévennes et les Hautes-Alpes), déstabilisent fortement le manteau neigeux ; un manteau neigeux déjà exceptionnel par son épaisseur en cette époque de l'année. Cette couche de neige supplémentaire constituée de neige lourde et collante tombée entre 1000 et 1800 mètres entre samedi et lund matin, accroît naturellement le risque d'avalanche qui est même maximal sur les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes en début de semaine. Les fortes chutes de neige survenues également dans les Vosges, le Jura et sur le sud du Massif-Central (Cévennes) peuvent favoriser d'importantes coulées de neige.
Et en raison de nouvelles précipitations jusqu'à demain mercredi (notamment sur l'ouest du Massif-Central, les Vosges et le Jura), d'important départs de neige sont à craindre toute la semaine. Le redoux prévu jeudi et vendredi en montagne pourrait davantage compliquer les choses avec un isotherme 0°C qui remonterait vers 2500 mètres.
Risque de crues et d'inondations
En zone de plaine, les cours d'eau ont réagi hier lundi ; c'est le cas des cours d'eau cévenols et des affluents de la Durance qui ont vu leurs débits grimper rapidement suite aux fortes chutes de neige en montagne et aux fortes pluies qui s'abattent en plaine.
Les cours d'eau descendant du Massif-Central vers l'Atlantique (les bassin-versants de la Dordogne, du Lot et du Tarn plus particulièrement) sont à surveiller car la conjonction des pluies en plaine et des chutes de neige pourraient aussi avoir des conséquences sur le débit de ces cours d'eau (du moins certains de leurs petits affluents).
Les bassins-versants du Rhin et de ses affluents, du Doubs, de la Meuse, de la Moselle et de la Saône étaient également susceptibles de connaître une augmentation de leurs débits respectifs, sans risque de débordement pour le moment.
Suivez l'évolution des conditions météo de votre ville, où que vous soyez, par téléphone au 3201*.
En montagne, les chutes de neige des dernières 48 heures, très abondantes (on relève de 50 cm à 1 m de neige fraîche sur l'ensemble de nos massifs vers 1000 mètres d'altitude, et jusqu'à 1,50 sur les Cévennes et les Hautes-Alpes), déstabilisent fortement le manteau neigeux ; un manteau neigeux déjà exceptionnel par son épaisseur en cette époque de l'année. Cette couche de neige supplémentaire constituée de neige lourde et collante tombée entre 1000 et 1800 mètres entre samedi et lund matin, accroît naturellement le risque d'avalanche qui est même maximal sur les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes en début de semaine. Les fortes chutes de neige survenues également dans les Vosges, le Jura et sur le sud du Massif-Central (Cévennes) peuvent favoriser d'importantes coulées de neige.
Et en raison de nouvelles précipitations jusqu'à demain mercredi (notamment sur l'ouest du Massif-Central, les Vosges et le Jura), d'important départs de neige sont à craindre toute la semaine. Le redoux prévu jeudi et vendredi en montagne pourrait davantage compliquer les choses avec un isotherme 0°C qui remonterait vers 2500 mètres.
Risque de crues et d'inondations
En zone de plaine, les cours d'eau ont réagi hier lundi ; c'est le cas des cours d'eau cévenols et des affluents de la Durance qui ont vu leurs débits grimper rapidement suite aux fortes chutes de neige en montagne et aux fortes pluies qui s'abattent en plaine.
Les cours d'eau descendant du Massif-Central vers l'Atlantique (les bassin-versants de la Dordogne, du Lot et du Tarn plus particulièrement) sont à surveiller car la conjonction des pluies en plaine et des chutes de neige pourraient aussi avoir des conséquences sur le débit de ces cours d'eau (du moins certains de leurs petits affluents).
Les bassins-versants du Rhin et de ses affluents, du Doubs, de la Meuse, de la Moselle et de la Saône étaient également susceptibles de connaître une augmentation de leurs débits respectifs, sans risque de débordement pour le moment.
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